Des constantes qui sont des chaînes de caractères :
DocPath : chemin d’accès au répertoire doc de TeXgraph, ce répertoire contient des docs au format pdf (dont TeXgraph.pdf).
Exemple : la commande Exec("xpdf","TeXgraph.pdf",DocPath), ouvrira le fichier TeXgraph.pdf avec le programme xpdf.
UserMacPath : chemin d’accès au répertoire contenant les macros utilisateurs. Sous linux c’est le dossier;
$HOME/TeXgraphMac et sous windows il doit être créé par l’utilisateur et le chemin d’accès doit être dans la variable d’environnement TeXgraphMac. Lorsque l’utilisateur charge un fichier de macros (*.mac) ou un fichier modèle (*.mod), TeXgraph cherche dans le dossier courant, puis dans le dossier UserMacPath et enfin dans le sous-dossier macros du dossier contenu dans la chaine InitialPath.
Les constantes graphiques :
Styles de trait :
Terminaison des lignes :
Jointure des lignes :
Épaisseur du trait (en nombre entier de dixième de point de TeX) :
Styles de point (à la pstricks) :
Styles de Label (par défaut le texte est centré horizontalement et verticalement) :
stacked : le texte peut contenir des sauts de paragraphes.
Exemple d’utilisation : LabelStyle := top+framed, le texte est centré horizontalement, le point de référence est en haut du texte et celui-ci est encadré.
Styles de remplissage pour les polygones (les hachures sont calculées par TeXgraph pour la sortie LaTeX) :
Styles de gradient :
Taille des Labels :
Relatives à la 3D :
Sont considérées comme prédéfinies : les variables ci-dessous, ainsi que toute variable globale contenue dans un fichier de macros chargé au démarrage du programme. Les variables prédéfinies n’apparaissent pas dans la fenêtre de TeXgraph, elles ne seront pas enregistrées avec le graphique.
Les variables globales suivantes correspondent aux différents "champs statiques" des éléments graphiques :
Variables relatives aux axes
La création d’un élément graphique n’entraîne pas la création d’une constante portant le même nom. Il est cependant toujours possible d’accéder à la liste des points composant un élément graphique avec la fonction Get. Mais cela nécessite que l’élément graphique dont on utilise le nom soit déjà créé, sinon la fonction Get renverra la valeur Nil.
Variables relatives à la représentation en 3D :
Lorsque TeXgraph rencontre un nom dans une expression, il regarde s’il est suivi d’une parenthèse [ex : toto(...] :
Il n’est donc pas nécessaire de déclarer les variables locales, la première occurrence fait office de déclaration. Cependant, il se peut que l’on ait besoin qu’une variable x1 [par exemple] soit locale alors qu’il y a déjà une variable globale qui porte le même nom, pour obliger TeXgraph à considérer x1 comme une variable locale, il suffit de mettre le caractère $ devant son nom : $x1 (il suffit en fait de le mettre uniquement devant la première occurrence).
La création/modification d’une variable globale ou d’une macro entraîne automatiquement le recalcul de tout le graphique c’est à dire :
Remarque : La modification de la fenêtre par le menu entraîne aussi le recalcul automatique.
Ces fichiers sont chargés automatiquement lors du lancement du programme (ainsi que color.mac et scene3d.mac). Leur contenu est considéré comme prédéfini (c’est le savoir faire de base), il n’apparaît pas à l’écran, il n’est pas enregistré avec les graphiques, et il est présent en mémoire jusqu’à la fermeture du programme. Voici la liste des principales variables (les variables qui servent d’options dans certaines macros ne sont pas citées ici) :
Variables liées à la 3D :